Editeur : HarperCollins Children's Books
Public : 13 ans et plus
Pages : 496
Format : broché
Autres titres de la série : Insurgent (sortie chez HarperCollins le 1er mai 2012)
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Présentation de l'éditeur :
Dans le Chicago dystopique de Beatrice Prior, la société est divisé en cinq factions, chacune dédiée à la culture d'une vertu particulière : Candeur (les honnêtes), Abnégation (les dévoués), Intrépide (les braves), Amitié (les pacifiques) et Erudit (les intelligents). Chaque année, lors d'une journée convenue, tous ceux de seize ans doivent choisir la faction à laquelle ils consacreront le reste de leur vie. Pour Beatrice, la décision se joue entre rester avec sa famille et être qui elle est vraiment. Et elle ne peut avoir les deux. Elle devra donc faire un choix qui les surprendra tous, y compris elle-même.
Lors de l'initiation hautement compétitive qui suit, Beatrice se rebaptise Tris et lutte aux côté des autres initiés pour vivre le choix qu'ils ont tous fait. Ensemble, ils doivent subir des tests d'endurance extrêmement physiques et d'intenses simulations psychologiques, dont certains auront des conséquences dévastatrices. Alors que l'initiation les transforme tous peu à peu, Tris doit déterminer ce que sont réellement ses amis et quelle place une histoire avec un garçon tantôt fascinant, tantôt exaspérant peut prendre dans la vie qu'elle a choisi. Mais Tris a aussi un secret, un secret qu'elle a caché de tous car il lui a été averti qu'il pouvait être un présage de mort. Et en découvrant l'agitation et le conflit grandissant qui menaçent de perturber son semblant de société parfaite, elle apprend que ce secret pourrait bien être ce qui peut sauver ceux qu'elle aime... ou pourrait être ce qui peut la détruire.
Bon, ce n'est pas une surprise, mais Divergent est une pure merveille. Une dystopie comme on les aime, incomparable aux Hunger Games que l'on chérit tant, le premier roman de Veronica Roth est, pour moi, le meilleur espoir des sagas dystopiques.
Une société organisée selon les différents caractères de sa population, il fallait y penser. Beaucoup de dystopies se concentrent sur un passé lourd ou l'évolution de la science. Ici, un nouveau système : les factions, des catégories sensées mettre en avant chacune une qualité ; réunies, elles sont le ciment d'une société forte et équilibrée. Seulement, la faille est bien réelle. Cette faille, ce sont les divergents. L'héroine, Beatrice puis Tris, est divergente. Avec ce roman, on a la preuve qu'on ne doit pas avoir un sale caractère et être brute de décoffrage pour réussir à faire tomber les masques et la paix artificielle d'une telle société : Tris est une héroine YA comme on en voudrait plus souvent. Et on apprend qu'avec du courage, on peut faire des ses points faibles des points forts redoutables.
Four, le personnage masculin, mérite bien un paragraphe dans cette chronique. Ce n'est pas l'hystérie, ce n'est pas la bave qui coule sur chaque page du roman, ce n'est pas Wayland World ou Herondale Land, mais ça en jette. Four est beau, Four est mystérieux, Four représente l'autorité et Four a de beaux points faibles, ce que j'aime découvrir chez les personnages masculins. Il n'est pas invincible et l'origine de ces points faibles le rend incroyablement humain et attachant. J'ai adoré ce personnage qui sort du lot des autres YA crushes et du changement comme ça, ça fait du bien !
L'intrigue est aussi ficellée et complexe qu'un filet de pêche. Tellement bien ficellée et solide qu'on est pris au piège : on tombe dans le panneau de l'addiction et quand on s'en rend compte, il est trop tard, on ne peut plus reposer le roman. Des surprises qu'on ne s'attendait pas à rencontrer dans le genre dystopique, des rebondissements forts et des personnages qui se complètent sans tomber dans le cliché : Veronica Roth a trouvé la formule qui envoie des étincelles !
Si vous ne l'avez pas encore lu parce que vous n'en avez jamais entendu parler, désolée, mais ça craint. En revanche, si vous ne l'avez pas encore lu parce que vous piétinez ou parce que vous n'êtes pas sûr de prendre votre pied, bougez-vous et commandez-le sur internet ou foncez l'acheter en librairie ! Si vous regrettez de ne pas avoir fait confiance à Suzanne Collins et ses Hunger Games, saisissez votre chance de vous rattraper avec Veronica Roth et Divergent !
Une société organisée selon les différents caractères de sa population, il fallait y penser. Beaucoup de dystopies se concentrent sur un passé lourd ou l'évolution de la science. Ici, un nouveau système : les factions, des catégories sensées mettre en avant chacune une qualité ; réunies, elles sont le ciment d'une société forte et équilibrée. Seulement, la faille est bien réelle. Cette faille, ce sont les divergents. L'héroine, Beatrice puis Tris, est divergente. Avec ce roman, on a la preuve qu'on ne doit pas avoir un sale caractère et être brute de décoffrage pour réussir à faire tomber les masques et la paix artificielle d'une telle société : Tris est une héroine YA comme on en voudrait plus souvent. Et on apprend qu'avec du courage, on peut faire des ses points faibles des points forts redoutables.
Four, le personnage masculin, mérite bien un paragraphe dans cette chronique. Ce n'est pas l'hystérie, ce n'est pas la bave qui coule sur chaque page du roman, ce n'est pas Wayland World ou Herondale Land, mais ça en jette. Four est beau, Four est mystérieux, Four représente l'autorité et Four a de beaux points faibles, ce que j'aime découvrir chez les personnages masculins. Il n'est pas invincible et l'origine de ces points faibles le rend incroyablement humain et attachant. J'ai adoré ce personnage qui sort du lot des autres YA crushes et du changement comme ça, ça fait du bien !
L'intrigue est aussi ficellée et complexe qu'un filet de pêche. Tellement bien ficellée et solide qu'on est pris au piège : on tombe dans le panneau de l'addiction et quand on s'en rend compte, il est trop tard, on ne peut plus reposer le roman. Des surprises qu'on ne s'attendait pas à rencontrer dans le genre dystopique, des rebondissements forts et des personnages qui se complètent sans tomber dans le cliché : Veronica Roth a trouvé la formule qui envoie des étincelles !
Si vous ne l'avez pas encore lu parce que vous n'en avez jamais entendu parler, désolée, mais ça craint. En revanche, si vous ne l'avez pas encore lu parce que vous piétinez ou parce que vous n'êtes pas sûr de prendre votre pied, bougez-vous et commandez-le sur internet ou foncez l'acheter en librairie ! Si vous regrettez de ne pas avoir fait confiance à Suzanne Collins et ses Hunger Games, saisissez votre chance de vous rattraper avec Veronica Roth et Divergent !
Intrigue ★★★★★
Héroïne ★★★★★
Le personnage masculin ★★★★★
Personnages secondaires ★★★★☆
Atmosphère ★★★★☆
Originalité ★★★★☆
Emotion ★★★★☆
Action ★★★★★
Humour ★★★★☆
Style de l'auteure ★★★★☆
Addictabilité ★★★★★
Note globale :
Super chronique, je suis fan ^^ Je suis super contente que tu aies aimé aussi, mais je n'en doutais pas :)
RépondreSupprimerJ'ai adoré moi aussi et il me tarde que le tome 2 arrive dans ma BAL en mai (en VO :) )
RépondreSupprimer(HS : je ne t'ai pas oubliée, je t'envoie un petit mail dès que je suis OK surtout que je pensais changer les couleurs de mon blog sous peu :) )
Olala ... J'ai préféré lire en diagonal cet article pour ne pas trop me spoiler mais il n'empêche que cela me donne encore plus envie de lire cette série ! Il me tarde d'autant plus maintenant que le livre se libère à la biblio pour récupérer ma réservation x)
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